Comment vendre des compétences en tant que coach ?

Vendre des compétences ou du rêve : différences entre coach et coach
On atteint des niveaux de crétinerie orbitaux.
Une fois encore, tout se téléscope…
Mélange des genres…
Exhibition à tout va de ses possessions : Voitures, piscine, chambre de palace, baignoire, parures de lit..
Qu’est ce que cela apporte à votre vie de client ? Du rêve ?
Vous cherchez un modèle qui vous inspire ? OK.
Mais en quoi ces possessions matérielles vous parlent du mindset ou du mensonge qui se cachent derrière ?
Quid de ces personnes qui vous laissent croire à une vie de misère et à une ascension extraordinaire sans vous dire réellement la vérité ?
De Cosette vivant chez les Thénardiers à la princesse des Milles et une nuits
Je dis souvent “N’achetez pas la vie des autres. Vous ne savez rien de leur vie, en dehors du show off qui s’étale sur les Réseaux Sociaux.”
Vous suivez le diable de Napoléon Hill.
Qui voulez vous être ? Une pale copie d’un produit monté de toute pièce ?Un mensonge mal dans sa peau à force de schizophrénie ?
La fortune ne s’exhibe pas… Les têtes couronnées ne se montrent que dans l’intimité du Gotha. Il ne s’agit ni d’impressionner, ni de frustrer, mais juste de tenir un rang, celui qu’impose la classe sociale.
Aujourd’hui, les réseaux sont plein de ces nouveaux riches qui montrent leurs possessions comme des trophées, un peu comme le tigre blanc ramené d’un safari ou le bébé phoque, preuve d’un passage meurtrier au grand nord.
Accumuler des biens ne remplit pas notre cœur.
Les exhiber attire le chaland mais lequel ?
Voulez vous une “rat race” qui se ment ou une vie selon vos besoins et vos croyances ?
Il n’est pas question de valeurs, celles la sont gravées dans le marbre de votre psychique depuis votre arrivée ici.
Donc croire que vous vivez selon vos valeurs est un énorme mensonge qui vous amène à montrer ce que vous avez ou qui vous amène à chercher ce qui pourrait alimenter vos besoins par l’extérieur…
Valeurs : connecteurs entre vos croyances et vos besoins
Vos valeurs sont le connecteur entre vos croyances et vos besoins…
Dès lors vous voyez bien le drame quand on prétend vivre selon des valeurs qui ne se raccordent à rien.
L’humain est un tout cohérent, que la vie vient faire dérailler… En courant après l’avoir, vous faites et vous finissez par attraper le mal être. En étant bien, en étant conscient de ce qui vous anime, de ce en quoi vous croyez, vous savez quels sont vos besoins, moteurs de toutes les actions, qui vous conduisent inexorablement à leur satisfaction.
Vous pouvez croire en la puissance de l’argent et avoir besoin de vous épanouir en devenant puissant, vos valeurs vous indiqueront le chemin : un besoin de pouvoir n’est pas une tare, tant qu’il sert le monde sans s’enliser dans un mensonge…Mais tous n’ont pas ce besoin.
Quand j’étais petite, mon père rêvait de faire de moi une bête de compet. Seulement, me comparer aux autres ne m’intéressait déjà pas, alors me mesurer à eux ? À quoi bon…Je me suis toujours estimée dans la moyenne supérieure (ça peut paraître présomptueux mais c’est une croyance).Donc, je n’avais pas de besoin de pouvoir ou de puissance qui implique que l’on a quelque chose à prouver.
Non au contraire, consciente de ma facilité, j’avais et j’ai toujours un besoin d’utilité que je nourris naturellement en partageant.
Vendre des compétences : comprendre et non frustrer
Partager est une valeur qui domine toutes mes actions. Et la première qualité dans le partage est de chercher à comprendre l’autre et non à l’impressionner, à transmettre sans imposer, à laisser l’imaginaire se développer sans induire la frustration.
Une possession n’existe pas pour ce qu’elle est mais pour ce qu’elle suscite chez son possesseur. Comme au temps de l’esclavage, posséder un humain était un signe de richesse et de pouvoir.
L’objet n’est que la matérialisation d’un besoin, son exhibition à outrance est la preuve d’un besoin inassouvi ou mal assouvi, qui recherche l’étincelle dans le regard de l’autre.
Il n’est pas question ici de vendre des compétences aux clients, mais de lui distiller un rêve inaccessible.
De quoi êtes vous fier ?
Réfléchissez aux biens matériels que vous possédez : de quoi êtes vous fier ? De votre première maison ? Vous l’avez dit à vos proches, peut être avez vous fait un post pour dire “je suis propriétaire” mais vous ne nous en avez pas fait visiter l’intérieur (ni même l’extérieur)… Votre réussite se suffisant à elle même, vous n’aviez pas besoin de la validation d’inconnus.
Demandez vous quel est le but de montrer quand on est coach ?
Combien se sont fait leurrer par ce qu’ils voyaient sans parvenir au même résultat, parce que l’effort à déployer était loin d’être aussi évident ? Combien se sentent nuls parce qu’ils ne possèdent pas la dernière caisse à la mode ?
Perso, posséder une voiture de marque quand je peux acquérir pour la même somme un appartement ou un bien immobilier ne m’intéresse pas… Et oui, la vibration de la route ne me fait pas grimper au plafond alors que celle de la pierre fait faire des loopings à mon clito…
Et pourtant, je me prends rarement chez le notaire en pleine signature de contrat…Parce que je n’ai pas besoin d’un tiers pour venir commenter mes acquisitions…
Les deux seuls avec qui j’en débats c’est mon mari quand il s’agit d’un investissement privé et Michael Pinto quand il s’agit d’une acquisition pro.
Alors réfléchissez à ce que vous voulez incarner, à ce que vous cherchez VRAIMENT dans le regard de l’autre. Personne ne peut vous convaincre de votre réussite si vous n’en êtes pas convaincu vous même, et surtout pas des milliards sur un compte…Que cherchez vous en achetant les possessions que l’on vous vend ? Croyez vous vraiment qu’en copiant la réussite d’un autre voire en l’achetant pour vous en inspirer, vous irez aussi haut qu’en suivant votre intuition ?
La réussite c’est 75% de stratégie interne, et ça ça ne se transmets pas, ça se façonne à l’aulne de ce que l’on est et non de ce que l’on fait… Quand vous choisissez un coach, assurez vous qu’il aspire à vous vendre ses compétences et non son lifestyle.
Nos parcours ?
Fille de deux experts-comptables, je baigne des ma naissance dans le monde de l’entreprise et de ses difficultés. À 23 ans, je développe ma première entreprise, qui existe toujours, mais dont la structure varie au fil de nos tribulations. C’est aussi à cette époque que j’acquiers mon premier logement, premier d’une longue liste, aujourd’hui en location.
Michael, quant à lui, va s’épanouir dans la musique, via la création de labels. Certains vont perdurer, d’autres disparaître. Forts de cette expérience, il va se lancer dans le Consulting, puis l’acquisition d’entreprises. Animé par la passion des voitures de collection et l’amour de sa famille, il se recentre sur l’entrepreneuriat et sur l’optimisation des tpe /pme en 2018.Notre objectif : partager et transmettre notre amour de l’entreprise.
Vendre des compétences est donc une pratique incrustée dans notre ADN.
Successfulparentpreneur, c’est le condensé de nos parcours. 20 ans de “notre” réussite, un toit sur nos têtes, de la pérennité dans nos investissements, un quotidien assuré pour nos enfants.
Successfulparentpreneur, c’est 40 ans d’expérience professionnelle à des postes et dans des pays différents (France, Suisse, Allemagne, États-Unis, Maurice et d’ici peu les UAE).
Successfulparentpreneur, c’est la garantie de faire prospérer votre vision de votre propre réussite. Par abonnement ou dans nos programmes nous répondons à toutes les questions qui sont posées, car votre question est votre blocage. Il est donc important d’y répondre pour que vous avanciez.
En savoir plus sur notre processus ? Voici notre atelier Masterclass sur notre propre processus de vente : https://www.successfulparentpreneur.fr/product/appel-de-vente-ne-passez-plus-jamais-a-cote-dun-prospect-qualifie/
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Image de Anastasia Gepp sur Pixabay