GAGNER DE L’ARGENT, EN TRAVAILLANT 3H PAR JOUR
Transcription de la Vidéo
Travailler trois heures par jour
Aujourd’hui, avec Michael, il nous arrive de travailler de trois heures.
Mais qu’est-ce qu’on entend par travailler ?
Travailler pour nous, cela signifie que l’on fait des trucs chiants : de l’administratifs ; que l’on vous monte des tableaux d’analyses, c’est quand on télécharge pendant trois heures sur YouTube parce que les vidéos mettent un temps fou à passer. Le travail à ce stade nous demande un effort, alors que le reste du temps Michael, comme moi nous allons lire, travailler avec nos clients. A titre personnel, moi dans le travail j’inclus la prospection parce que je n’aime pas ça.
Mais, voilà, travailler c’est faire ce que vous n’aimez pas. Alors dans la pratique, oui nous bossons 12 heures par jour. En réalité, si on est vraiment honnête, on ne s’arrête jamais. Mais nous n’avons jamais le sentiment d’être dans le travail, on est dans la passion. On aime ce qu’on fait tout simplement parce qu’on le fait comme on est. Et là, ca devient Kiffant parce qu’on a un processus et que nous avons déployé l’effort avant.
Se mettre à son compte pour travailler peu : illusion ou vérité
On ne s’est pas lancé en tant qu’entrepreneurs en pensant : on travaille deux heures.
Moi, quand je me suis mise à mon compte, il y a vingt ans, je travaillais 20 heures par jour. Alors ok, je gagnais super bien ma vie. J’étais célibataire, c’était très bien mais je bossais 20 heures par jour, par choix. Mon choix, c’était de lancer mon entreprise.
Une fois que celle-ci a décollé, vous pouvez réduire votre temps de travail parce que vous mettez des employés en place mais aussi (et surtout) parce que vous avez des processus documentés. Tant que vous n’avez pas, ces foutus processus, le résultat ne peut pas être là, derrière.
Souvent, il n’y a pas la base pour un automatisme derrière, parce que tout le monde veut un truc qui tourne en fond. Mais, un business qui repose sur l’humain ne peut pas reposer sur des machines pour prendre des décisions humaines machines ne peuvent pas le faire. Elles vous diront un oui, ou un non mais, sur le plan émotionnel, la machine est neutre.
Acquisition automatique de client : leurre ou processus éprouvé ?
L’acquisition “automatique” de clients a un coût. Je dis souvent à nos clients : quand il faut que vous injectiez par mois entre 10 000 et 30 000 euros pour en récupérer 70 mille euros de coaching, ça a un coût ! Et ça, c’est faisable à partir du moment où vous avez des processus qui tournent et où vous êtes sûr de vos processus. Donc, à partir du moment où ils ont été éprouvées, ça ne se fait pas du jour au lendemain. Pour ceux qui se lancent, je ne sais pas mais ce n’est pas un affront d’en parler, mais il faut dire les choses en face. Il faut souligner la naïveté de beaucoup de gens qui se lancent sans avoir de l’argent de côté.
Voilà j’arrête de bosser, je démissionne de mon statut d’employé, je n’ai pas d’économie de côté mais je me lance dans l’eau froide de l’entrepreneuriat. Sans avoir d’argent de côté c’est se faire hara-kiri, c’est du suicide. C’est pareil si vous voulez investir parce que tout le monde vous dit, “fais de la pub Facebook, fais de la pub sur Google etc. Oui ça fonctionne mais faut avoir de l’argent de côté pour investir. Il y a des choses pour lesquelles on essaie, des choses pour lesquelles on n’est pas fait et ça je sais que certains coachs ne veulent pas l’entendre, et j’en suis désolé.
Etre entrepreneur, c’est travailler comme un couteau suisse
Etre entrepreneur, c’est être un couteau suisse ; il y a forcément des choses pour lesquelles on est performant et des choses où on ne l’est pas. Moi je sais que j’écris bien, j’écris simplement. Et quand j’écris je n’ai pas le sentiment de travailler, mais de me faire plaisir.
En revanche, je suis une très mauvaise communicante. Je partage, je peux partager des idées, je peux séduire des clients sur la base de mes idées. En revanche, je ne sais pas communiquer. J’ai un don, qui me sert par ailleurs, qui fait que je vois “le défaut” chez la personne. Forcément, c’est là où je vais aller taper et on n’a pas envie d’avoir quelqu’un qui tape sur vos défauts donc ça se fait lors de la première conversation.
Mais, ça fait de moi une mauvaise communicante. Donc, ma communication quand je veux la faire, je la délègue. Parce que je sais que, dans ce cas là, elle sera bien faite. Cela ne me convient pas car je ne la trouve pas assez transparente, parce que je la trouve trop hypocrite, parce que je trouve que ce n’est pas moi. Néanmoins, il n’empêche que quand j’ai des besoins en communication pour des événements particuliers (oui il faut qu’on attire du monde, par exemple, quand on fait nos immersions à Dubaï où il faut qu’on ait 15 entrepreneurs ), ce n’est pas moi qui communique parce que sinon, on ne les a pas nos entrepreneurs. LOL
On ne peut pas tout savoir faire, on peut essayer, l’important étant d’être conscient de ses limites. Il faut modifier les choses.
Vous me voyez quand que je réagis à chaud à propos de quelque chose. Je suis exactement pareille dans le coaching, je vais analyser ce que vous me dites ; je vais écouter ce que vous me dites ; et je vais tout de suite faire le lien entre ce que vous êtes en train de me dire et ce qui n’avance pas. Et forcément quand je le décoche ma flèche, ça ne fait pas du bien.
La transparence, l’une des clés de réussite du business
Ce n’est pas fait de manière malveillante, mais cela ne fait pas toujours plaisir à recevoir.
On essaie toujours avec Michael, d’être vraiment transparent. Tout à l’heure où on a fait toute une vidéo pour essayer de vous expliquer comment on avait conçu la formation. Dans le but justement de jouer la transparence parce que chez nous, chez lui comme chez moi, ce sont des valeurs qui sont importantes. Et la transparence, ce n’est pas vous vendre un miracle ou un secret.
La transparence? C’est tout sauf glamour. Alors, on ne veut pas vous offrir un joli bouquet de fleurs pour cette Saint Valentin avec des jolies roses et des paillettes de partout.
Non, on vous offre un truc brut de fonderie. Mais on a l’avantage de pouvoir dire et affirmer, parce qu’on l’a fait, parce que ce processus on l’a vécue : oui ca fonctionne. mais il implique que vous travaillez. Croire qu’on peut gagner dix mille euros par mois, en attendant sur son canapé que ça se passe, c’est juste de l’utopie.
Après on peut se faire plaisir dans le boulot. On peut prendre énormément de plaisir. La preuve, on est le 14/02, chez moi, il est déjà presque 21h. Voilà, j’étais encore en train de bosser mais ça ne me dérange pas parce que j’aime ce que je fais et je n’ai pas l’impression de travailler, mais de m’amuser.
Le luxe, ce n’est pas les grosses bagnoles, les belles villas
Mais parce que l’on connait nos processus et que l’on sait quel processus va amener quels résultats. Et, c’est ça le truc et c’est ça le luxe.
Le luxe, ce n’est pas les grosses bagnoles, les belles villas, les beaux hôtels qu’on vous montre en général.
Pour moi, le luxe, c’est de faire ses choix quand on en a envie
Michael Pinto
Te dire, j’ai envie d’aller faire un tour, toi à la plage, moi ici. Dans la forêt quand je suis, chez moi en Allemagne ou alors, à Majorque, on le fait quand on veut. Ce n’est pas quand on peut. Et c’est là, qu’est la grosse différence. Le luxe, c’est se dire : “tiens, la semaine prochaine, on a envie de partir au ski. Les enfants sont en vacances, on prend l’avion et on rentre.
Et ce luxe-là, il n’est possible qu’à partir du moment où l’on a vraiment réfléchi sur ce qu’on voulait faire, où l’on est vraiment allé chercher dans ses tripes, ce qu’on voulait ou ce que l’on ne voulait pas. Et, où l’on a mis les choses en place pour que :
notre entreprise soit au service de notre vie et pas l’inverse.
Et, c’est cela que l’on entend par structure. La structure, c’est le processus derrière. D ailleurs, quand on fait les choses soi-même, on a tout en tête. Si on n’avait pas de processus avec Patricia et que je m’occupe d’une partie A et elle non, et que demain, je ne suis pas opérationnel comment peut elle reprendre le flambeau ? S’il n’y avait pas de processus, elle ne pourrait pas le faire.
Et combien de fois, on m’a demandé mais, le processus, Michael, tu le ferais comment ?
Faites le par écrit, comme une documentation de façon à ce que n’importe puisse reprendre ces informations, même si la personne ne sait pas. Elle peut ainsi faire le processus à votre place.
Tout simplement parce que si vous le faites, une fois vous avez la nécessité de déléguer, il est alors beaucoup trop tard. Et là vous allez perdre du temps et de la qualité.
Le processus, il ne vient pas entacher ni votre authenticité, ni ce que vous faites, ni la passion que vous y mettez. Non, il vient simplement organiser tout ça pour gagner du temps. Et quand on gagne du temps, on gagne de l’argent. Et souvent, quand on gagne du temps et de l’argent, on gagne en confiance ; déjà en soi. Puis, après on permet à nos clients d’avoir davantage confiance en nous. Il y a une équation, qui est toute bête et que je répète suffisamment, (surtout ces derniers temps où justement mon notaire aurait bien besoin de processus) :
La confiance entraîne une augmentation de la vitesse de réalisation et l’exécution et implique une diminution des coûts
L’équation confiance, la clé des processus
Donc, quand on gagne du temps et qu’on baisse ses coûts, en travaillant sur la base de la confiance, on a tout gagné. Le chiffre monte, les bénéfices aussi et notre temps se libère, tout simplement. C’est tout bête comme équation. Pourtant, on n’en tient jamais compte.
Mais, tu sais à chaque fois que nous posons la question lors d’une immersion ou en Sparringpartnership, les grands dirigeants nous disent oui mais ça, c’est logique. Et quand on leur demande s’ils le mettent en place, bien souvent les gens disent non.
Avant de penser à investir, à faire grossir votre entreprise ou grandir en personnel ou en chiffre d’affaires, essayez déjà d’améliorer et d’optimiser ce que vous avez déjà en place, donc le processus.
Souvent, il n’y a pas de processus. Quand on reprend des entrepreneurs qui gagnent entre 4000 et 5000 euros, il n’y a pas de processus. Après, le but n’est pas de les blesser, on ne les montre pas du doigt. Simplement la situation fait que beaucoup de coaches autoproclamés n’ont jamais construit d’autres business, que leur propre business de coaching.
Nos pédigrées
Patricia et moi, on est arrivé dans le coaching, et moi pour ma part dans le conseil en ligne parce qu’on a fait ça pendant des années. On ne s’est pas dit “coach et consultant” du jour au lendemain. On a fait ça pendant des années. Nous étions entrepreneurs et nous avons appris sur le tas. Aujourd’hui, on vient transmettre ce que l’on a appris nous-mêmes.
On veut éviter que des gens fassent les mêmes erreurs. Si on avait pu à l’époque, il y a plus d’une vingtaine d’années, avoir ces informations, au lieu de rentrer 3 ou 4 fois dans le mur et avoir des yeux au beurre noir parce qu’on était trop bêtes, on aurait gagné plusieurs années. Il n’y avait pas d’info en ligne comme on en a à l’heure actuelle. A l’époque pour avoir l’internet, il fallait payer une connexion filaire (pour avoir 500 mb) je ne sais pas combien pour avoir une dizaine d’e-mails.
La loi de l’attraction
A l’heure actuelle, on a tous internet. En revanche, avec ce super flux d’informations, beaucoup vous parlent du pourquoi et du quoi mais très peu du comment. Et c’est parce qu’ils ne l’on pas. Alors, c’est clair que très souvent, on dit que le “comment” appartient à l’univers.
On est d’accord et je le dis moi-même, je l’affirme. Je le vis et on a souvent des surprises qui tombent d’on ne sait où. Ca vient, sans que l’on sache trop comment. On ne sait pas, mais derrière il y a une régularité, il y a un travail, il y a un processus, il y a quelque chose. On agit au quotidien, on n’attend pas.
Je ne me pose pas chaque matin en disant je veux dix clients. Le comment ne m’appartient pas, donc j’attends. Il y a un processus d’acquisition clients, tous les jours, qui est mis en place. Pour Michael, je sais qu’il y a un processus d’ analyse de statistiques du business, des actions qui nous rapportent et de celles qui nous coûtent. Voilà, donc tout cela, ce sont des processus, que l’on vous fournit. Parce que certes tout ne vous appartient pas dans le comment.
Mais, si vous n’avez pas de comment derrière, si vous n’avez pas de processus, si vous ne savez pas comment faire. Sans plan d’actions, ça ne fonctionnera pas. Ce n’est pas comme ça que l’on gagne une guerre. Je ne suis pas un ami de la guerre mais j’ai fait l’armée et s’il n’y avait pas eu de processus, de stratégie, de mise en place d’un plan d’actions, nous n’aurions jamais gagné une bataille. C’est comme ça que commence la stratégie. On a appris des grands empereurs (même si on en pense ce qu’on en veut des grands empereurs), il y avait toujours une tactique qui était devant une stratégie et la stratégie c’est le plans d’actions, c’est l’essentiel. Et on vous rassure, ca on vous l’apprend, ce n’est pas difficile.
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